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lundi 30 décembre 2024

Bonne année 2025 : meilleurs vœux pour tous mes amis !


Ouvrir la presse représente une vraie torture : partout des gueules d’imbécile que même en appelant au secours l’intelligence artificielle on ne peut pas faire disparaître. La vraie question serait sans doute de chercher à savoir comment, dans le troupeau électoral, travailler à faire en sorte, en tout cas espérer, que ces parasites, tous, y compris les moins sinistres, s’ils existent, responsables et coupables de la situation, puissent recevoir un jour la récompense qu’ils méritent tant : fin de mandat immédiat, inéligibilité à vie, sans indemnités ni retraite, coup de pied au derrière et prison à vie incompressible. Parasitisme, sottise, incompétence, malveillance, corruption, traîtrise sont autant de caractéristiques qui appelleraient, dans un monde normal, chez un bétail autre que celui que nous sommes, quelques manifestations de saine réaction. Aucun parasite élu ne devrait pouvoir se montrer en public sans plusieurs compagnies de forces de l’ordre pour le protéger de la juste fureur … que n'éprouve toujours pas malgré tous les malgrés le peuple « souverain ». Quant aux parasites sociaux ...

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Des santons pour la crèche de Gaza






vendredi 27 décembre 2024

Il crepúsculo di un potente (spero che !)

Pedro Sánchez a réalisé la plupart de ses études dans des établissements privés. L’enseignement primaire, (EGB en Espagne), à l'établissement agréé Santa Cristina. Il a suivi après le secondaire une licence en économie et commerce à l'université privée María Cristina (El Escorial) et a terminé son parcours par un doctorat en économie et commerce à l'université Camilo José Cela, privée également. Son parti, comme lui-même, sont des défenseurs de l’enseignement public pour le commun des mortels. Pour eux, comme pour leurs rejetons, c’est loin d’être intéressant. La thèse que ce monsieur a présentée comme sienne a été rédigée, entre autres, par Carlos Ocaña, ancien secrétaire d'État occupant maintenant une sinécure dans le Real Madrid, avec la collaboration de Miguel Sebastián, ancien ministre qui pantoufle actuellement chez Indra. Du chavisme à l'état pur. Et de la pure merde en boîte.

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« ... un premier ministre autoproclamé « docteur » dont la thèse s'est révélée être un fatras de plagiats amalgamés par une bande de « prête-plumes » singulièrement incompétents. En 2011, le jeune et prometteur ministre allemand de la défense, Karl Theodor zu Guttenberg, avait démissionné après avoir été pris en semblable flagrant délit de plagiat et finit par s'exiler. Pour Gilles Bernheim, l'ancien grand rabbin de France, le plagiat de textes de Lyotard et Jankélévitch avait conduit en 2013 à sa mise en congé immédiate, l’exposant à la honte publique dans sa communauté. Il a également fini exilé. L'un et l'autre ont subi une réprobation durant jusqu'à aujourd'hui. Mais le Seigneur de la Moncloa ne semble pas affecté par de semblables peccadilles. Plagier une thèse de doctorat n'est en l’occurrence qu'une variante mineure du mensonge. Ce mensonge constitue l'essence même de la personnalité qui préside le gouvernement de l'Espagne. Cela représente un coût en termes de citoyenneté ? Oui. Les citoyens se sont-ils donné la peine d'en exiger le paiement ? ... Ben, voilà. » Cliquez ici pour l’article complet.

samedi 21 décembre 2024

Ce qu’on apprend enfant, se retient longtemps.

 

Il faut se rendre à l’évidence, quand le bilan des fripouilles qui nous « gouvernent » se résume en inculpations généralisées pour organisation criminelle, trafic d’influence, corruption et détournement de fonds, envers la famille, la coupole du parti, les plus proches collaborateurs, etc. de notre Aimé Président à Vie, quelque chose cloche dans l’Arcadie heureuse créée de toutes pièces par ses propres mains. L'adage « tu gagneras ton pain à la sueur de ton fion » qui devrait figurer sur le frontispice de tant de bordels, saunas et maisons closes, du plaisir socialisé garanti en gros et en détail, prend ici toute son ampleur. Les affaires de beau-papa, l’univers dans lequel o a appris tant de choses ! La longueur du cauchemar sanchiste n'a aucune espèce d’importance : d'un traître à un autre, d'un incapable à un autre, d'un corrompu à un autre, d'un nuisible à un autre, d'un parasite à un autre, d'un voleur à un autre, d'un salaud à … La critique du Caïd en Chef (El Puto Amo) résulte aussi vaine que la consultation de tout dictionnaire des girouettes rappelant ses innombrables mensonges, sur tous les sujets. Avec l’aide nécessaire de toute une nébuleuse d’« experts », de collaborateurs, conseils, instructeurs, mentors / menteurs, journalopes et lèches-cul. Ce n'est pas amusant, à y bien regarder, de savoir que nos existences sont contrôlées par ces canailles-là. Comment vivre décemment dans ce monde sinistrement truculent ? Cet abject régime ne tombera jamais avec des interpellations parlementaires, des commissions d’enquête ou autres facéties, pas même avec des discours intelligents ou des procès qui exigeraient le recours au code pénal dans sa totalité. Ce n'est pas bon pour le moral. Et bien calé au pouvoir pendant ce temps, le Maître absolu ne pense qu’à s’y éterniser sans aucune honte ni crainte du ridicule : quels Zinoviev ou Kamenev pourrait-il y avoir dans un microcosme dominé par des Koldos, des Ábalos, des M. J. Monteros en tout genre ? Et comme rien ne donnera une cervelle aux moutons, on est fatalement condamnés à assister à cette interminable apothéose d’un étron en boîte ... Les quelques éléments qui, chez les opposants, ont encore un cerveau doivent bien exister mais on ne voit nulle part les leaders de cette invisible opposition (?) capables d’élaguer les branches pourries d’un arbre dont les fruits puent la haine, la médisance et le malheur. Qu'ils fassent des déclarations, pourvu qu'ils continuent à nous obéir doivent penser les chefs de la bande sanchiste ! Les articles, tribunes et manifestations de scepticisme, voire d'esprit cruellement critique tomberont bientôt sous le coup de nouvelles lois scélérates de contrôle à la presse. Tout cela est lassant. Autant choisir d'être aveugle, sourd et muet dans une prochaine réincarnation ! Je suis bien conscient que ce n'est pas en tenant un blog, en écrivant un livre ou en manifestant que l'on culbutera le pouvoir en place mais on aimerait bien envisager une solution qui pourrait s’avérer réaliste et efficace.


Socialisme et choléra Horace Vernet 

Peut-être que l’opposition, pour faiblarde et divisée qu'elle soit, pose à ces crapules du tracas. Pourquoi, sinon, les réactions hystériques de la part de chaque ministre se voulant un parangon de progressisme et de « liberté » ? La propre démesure de la ferveur sanchiste, proche de l’hystérisme, insinue dans l'esprit des gens, aussi formaté soit-il, qu'il existe un autre modèle que celui qu'on leur propose. Modèle d'ailleurs si peu exigeant qu'il ne nécessite qu'une adhésion des gens tout simplement honnêtes pour fonctionner, avec pour seuls ennemis réels ces caricatures autoproclamées de gauche ou ces alliés du gouvernement surréaliste qui est en place. Voyez, comment, par exemple, le Président à Vie ne peut pas ramener quand même sa tronche dans les rues malgré le culte exagéré des médias à sa botte, payés rubis sur ongle. Il paraît que le chef de file du Parti Putride, plus admirateur que véritable adversaire du Caïd en Chef (El Puto Amo), a encore un certain pouvoir, parfait. Gageons qu’il va s’en servir ouvertement un jour pour convaincre les partis de la coalition frankenstein / front popu de ne plus garder leur confiance envers Ubu-le-Pourri contre toute éventualité. Un fin observateur de notre quotidien nous verrait sur le radeau de la Méduse plutôt que sur le Titanic. Les fidèles péronisto-sanchistes n'ont honte de rien et quand on voit qu’ils votent pour Leur Maître sans ciller, on ne se demande plus pourquoi dans le Titanic le capitaine a coulé avec son navire. La bienpensance générale et les moyens modérés que « l’opposition » se donne interdisent toute action radicale, efficace : manifs de rue, grève générale … Quant aux autres qualités requises pour se lever contre ce tyran merdique, elles n'existent plus. Après les excès covidistes ou encore l'état actuel du pays, où personne n'exige le châtiment des responsables ou des coupables de quoi que ce soit, où tous continuent à parader, assurés de leur impunité comme le premier voyou « trois pour cent » catalan venu, quelle réaction pourrait s’avérer efficace contre ces monstres ridicules ? Mes ironies, inoffensives, ne sont qu’autant de signes d'irrespect. Or, comme cet immonde pouvoir sanchiste a la prétention d'être respecté et même parfois aimé, cela pourrait requinquer le moral de certains de mes trois-quatre lecteurs. Attaquer sa vanité, en étroite relation avec son pouvoir de nuisance, pourrait déjà s’avérer en ce sens utile et profitable. Le pouvoir joue à se faire peur, sachant pourtant que rien ne s'oppose efficacement à lui. Il contrôle totalement tout l’appareil de l’État. Quant à tenter d'unir les gens décents face à ce danger bien réel, ce n’est qu’un vœu pieux. La population n'est plus assez homogène pour opposer un front commun à ces brigands, chaque communauté autonome a ses propres intérêts, ses égoïsmes, ses lubies. Et l'UE aggrave encore le problème, sous couvert de respect des particularités de chaque pays où chaque région a ses propres préoccupations prioritaires. Il ne me semble pas que les capacités coercitives (?) de l’« Union », en cas de danger pour la démocratie, soient redoutables. Ses lobbys ont toujours préféré l’argumentaire charmant et incantatoire de certaines régions / religions qui demandent d’accepter leurs dogmes sans se poser de questions à une rigueur réellement européenne 
pour que l’ensemble tienne débout. Tout appel déterminé à l’ordre serait le début de la fin. Cette vertu magico-incantatoire permet de multiplier à l’infini impôts, taxes et amendes sans jamais craindre de révolte, l’esprit critique étant la chose du monde la moins partagée. Si l’insurmontable immondice sanchiste veut réduire les critiques au silence, ce n'est que par vanité et non par utilité réelle. Les populations sont, contre toute évidence, persuadées de la nécessité « morale » de payer des impôts ou encore de celle d'accepter leur réduction en esclavage numérique. Elles savent simplement que pour faire fonctionner cette UE de nos malheurs, on a besoin d'accepter, bon gré mal gré, un certain nombre de dogmes vides, quelles que soient les positions dans l’échelle sociale des soumis par rapport à la coercition. Cette société a besoin de croire, ou de se forcer à croire, contre toute évidence, que les hommes ne sont pas des marionnettes. Dans ses moments de lucidité Sanchez, ignoble pitre hissé au pouvoir par des vautours bien pires que lui, doit savoir qu’il est pris à la gorge, que le pays sera ingouvernable s'il respecte indéfiniment les pressions de ses associés et que gouverner sans le parlement, comme il le proclame fièrement à cœur et à cri, dissipe une légitimité qui lui échappe depuis le premier jour de san accession surréaliste au pouvoir. Les journalistes soumis qui lui mangent docilement dans la main, comme la quasi-totalité des artistes et intellectuels de répertoire, le savent aussi, parfaitement. L'ordre social n'est toléré que sous la contrainte et la menace, sauf chez les candides qui aiment bien leurs maîtres bienveillants et qui méritent donc leur sort.


lundi 16 décembre 2024

Syrie : ça coute rien d’être partageur quand la fête est chez le voisin !


Décès de mon beau-frère. J’ai dû me rendre à l’évidence de sa disparition même si je continuerai sans doute à affirmer qu’il va s’occuper de ses sculptures en bois, de son petit potager au quotidien comme si de rien n’était. Cela a longtemps fait partie de sa vie de métallo à la retraite. Nous aimons la routine et les souvenirs en sont friands. Ils aiment flotter à la surface de nos pensées pour nous rendre l’existence sur terre infiniment précieuse, surtout quand nous ne l’écoutons pas, sans y faire attention. Quand je pense à lui et qu’il manquera à ses plus proches définitivement, ce n’est évidemment pas la totalité de ce que nous avons vécu ensemble qui me vient à la tête mais quelques traits saillants, parfois très peu, mais suffisants pour charmer ou consoler nos cœurs, qui nous rassurent ou nous séduisent selon les cas par leur naturalité. Et ça me suffit pour l’aimer toujours en dépit de sa disparition. Le reste n’existe que dans un monde bien imparfait qui fait qu’on voit nos proches partir sans pouvoir les retenir.

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Brûlé par plus de feux que je n’en allumai. Le seul sacrilège, quand on exerce dans l’enseignement ou la recherche, c’est d’ennuyer, de ne pas transformer durablement celui qui reçoit les messages qu’il attendait. C’est ce que ne comprendront jamais ceux qui croient que transmettre des savoirs, c’est un métier comme un autre. L’efficacité fait partie de l’économie qui s’instaure entre cette transmission et ceux qui reçoivent les clés nécessaires pour y accéder, des connaissances qui devraient d’une manière ou d’une autre vivre avec eux durant le reste de leurs jours, et certains professeurs dont certains cours (surtout, de littérature) ont pu m’enflammer sont parmi ce que je place le plus haut aujourd’hui dans ma vie.

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Trois grandes horreurs du vingtième siècle, en trois toponymes : Auschwitz, Hiroshima, la Kolyma. Auschwitz rafle la mise des retombées mémorielles, bien que la Kolyma ait massacré plus amplement et plus longuement. Hiroshima n’a eu qu’une carrière-éclair, mais avec un brio technique incomparable. Ses 100.000 morts à la seconde donnent aux concurrents l’air de bricoleurs. Source: https://philippebille.blogspot.com/

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Si tu apprends un jour que ta mère avait énormément de défauts derrière son tablier de cuisine, cela ne changerait rien au fait que tu aies toujours bien mangé.

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P. I. dans ses œuvres : radin et mauvais payeur. Le malingre bolchévique de pacotille faiblement barbu, thorax rabougri, barbe laborieusement encouragée à pousser, chignon, barbichette ou queue de cheval sommairement entretenus, qui porte sur lui à la fois toute la bureaucratie soviétique, la science lyssenkiste et l’intolérance khmer, n’a aucune légitimité pour critiquer quoi que ce soit, encore moins les conditions de travail des jeunes. Les boursiers qu’il emploie ne sont payés que deux euros de l’heure ! Ce genre de bureaucrate universitaire politicien professionnel, largement payé par nos impôts tout au long de sa carrière, est pénible à suivre tellement ses airs doctes de rond-de-cuir gonflé de sa supériorité morale le transforment en tête à claque. Et c’est bien sûr au nom de cette stupide supériorité professorale qu’il tente de démontrer, avec toujours les mêmes démonstrations pseudo-sérieuses, qu’il faut naturellement combattre ceci ou interdire cela. Des tours de passe-passe pour faire oublier sa pitoyable trajectoire de merde au nom de la Démocratie ou de la Liberté. En chef d’entreprise lamentable.

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Grand remplacement. Théorie parfaitement démontrée par l’immigration massive en Palestine après 1945 ayant provoqué l’expulsion de la population autochtone de ses foyers et aux conséquences pour celle-ci largement connues en ce moment même : anéantissement, disparition physique, génocide.

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« Inauguration » de Notre-Dame. Le catholicisme ne reviendra plus. Non à cause de l’ennemi, mais faute de résistance. J’ai connu, enfant, les derniers catholiques, mais soixante ans de Vatican II ont balayé mille sept cents ans de civilisation au point que même ceux qui se prennent pour des cathos disciplinés acceptent des énormités impensables.

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À la mort de Franco, la plupart des gens étaient franquistes, non qu'ils ne voulussent pas de la liberté ou de la démocratie mais parce qu'ils ne ressentaient pas une oppression insupportable, craignant plutôt des bouleversements qui pourraient les priver d’un relatif bien-être récent, acquis après les trois terribles expériences de la république, de la guerre et de son terrible après-guerre. En effet, le Front populaire, dont l'accession au pouvoir avait été peu claire, ne disposait de majorité solide et pour presque tout le monde, cette époque n'était plus qu'un mauvais souvenir à la fin des années cinquante du dernier siècle. L'anti-franquisme hégémonique est arrivé plus tard, avec l'émergence de générations impatientes de connaître la liberté comme dans le reste de l'Europe. L’église post-concile, les « intellectuels » (sic) et la presse ont créé le mythe d’une république virginale attaquée par les méchants fascistes. Sacrifiant son présent au nom d’un passé imaginaire, délibérément ignoré, au dépit de son propre avenir. Au final, la dégoûtante imposture antifranquiste de notre Cher Président à Vie, San-chaise, et celle de son parti, absent de tous les combats, a été payante car elle peut compter sur un électorat abruti et formaté à coup de propagande, né d’un projet de domination et de l'argent sale vénézuélien.  Beaucoup de gens dans « la gauche » espagnole ont fini par croire qu’en se disant antifranquistes en 2024, ils courent les mêmes dangers et ont le même héroïsme que les résistants au régime franquiste en plein essor. Cette absence de mesure et de sens de la réalité explique que malgré des campagnes quasiment planétaires, une bonne partie du populo espagnol vote Vox, parti paria, parti intouchable, et que face à chaque problème économique et social grave, ce sont les solutions libérales qui sont adoptées : la gauche pédale dans le vent.

 


mardi 10 décembre 2024

« Baise la main que tu ne peux pas mordre » dit le proverbe

 


“España se ha convertido en un paria del que nadie se ocupa, un país insignificante, un caso perdido, un lugar para ir de vacaciones en verano y poco más, gobernado por un mafioso sin escrúpulos al que sostiene un partido que ovaciona a sus ladrones, y cuyo proyecto apunta a implantar una dictadura a la venezolana en las lindes de Europa ante el silencio de los corderos. La dictadura de los mansos. Un país sin pulso. Que un miserable como el ministro Marlaska se permita el lujo de imponer restricciones a las libertades individuales como las contenidas en el Real Decreto 933/2021 (registro documental de viajeros, en vigor desde este 2 de diciembre) y que nadie levante la voz, que el país no se eche a la calle, habla a las claras de esa España poblada por humillados resignados.” J. Cacho, Vozpopuli 08/12/2024

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L’abolition du temps. Qu’est-ce que l’éternité ? Boèce, Saint-Thomas d’Aquin ? G. Albiac heureusement nous la fait plus que brève : si nous sommes conscients que nous finirons inévitablement par nous cogner contre le mur de l’éphémère, nos actions seront une pièce de plus dans le miroir intemporel de la condition humaine. « L'éternité, le grand Spinoza le savait, n'est pas la prolongation illimitée du temps, cette bagatelle insignifiante pour les comptables. L'éternité, c'est l’abolition du temps : une hypothèse arithmétique de Pierre Fermat, des variations de Jean-Sébastien Bach, des hendécasyllabes de Pétrarque, de Garcilaso, de Aldana, de Villon ... Une cathédrale. »

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Chute de Damas. Tristesse, mêlée de colère devant cette populace armée et criarde partout en Syrie. Anglo-américains, otanazis, Turcs et sionistes ont « libéré » la Syrie. S’ils savaient ce qui les attend, les Syriens ! Presque les mêmes images qu’à la chute de Saddam, aujourd’hui considéré comme un martyr en Irak, des gens se rappellent son « bon vieux temps ». Ou que le chaos sanglant en Lybie. Que Dieu prenne le peuple syrien en pitié. L’histoire se répète mais les peuples refusent d’apprendre. Qui finance ces « rebelles modérés » ? Pourquoi ces milliers de djihadistes n’ont pas tiré une seule balle en direction du Golan occupé par l’armée sioniste ? Le président Assad n’avait pas la capacité de faire face à toutes les faction en présence lors des négociations après la sanglante guerre inachevée et une reconstruction du pays impossible sans moyens. Les Russes et les Iraniens avaient peu de marge de réponse sauf prolonger une guerre à l’infini. Le régime baasiste était depuis longtemps agonisant après des années de terrorisme et des sanctions meurtrières. Triste jour mais la réalité de ces pays arabes, c’est la démographie des communautés ethniques et religieuses. Hier, aujourd’hui et encore demain. En arrivant au pouvoir avec le Baas, parti fondé par Michel Aflaq, chrétien orthodoxe converti à l’islam à la fin de sa vie selon sa propre famille, Hafez El Assad prit le contrôle d’un pays majoritairement sunnite avec des minorités chrétiennes et sa propre minorité, les alaouites, considérés comme hérétiques par les sunnites majoritaires. Il y avait, avec toutes les nuances qu’on voudra, une certaine laïcité et la liberté pour les minorités. La mouvance djihadiste sunnite au pouvoir opprimera sans plus tarder les minorités dont les alaouites. Alors, oui, c’était une dictature, comme en Lybie, comme celle de Saddam en Irak, un sunnite qui empêchait la majorité chiite d’opprimer les minorités de son pays. D’où la création de l’état islamique par les cadres de l’armée irakienne, sunnites peu ou pas pratiquants qui cherchaient une reconversion et une revanche. Mais des hommes forts qui empêchent le chaos au profit des puissances occidentales et régionales ne peuvent se maintenir par la démocratie et les droits de l’homme façonnés à la sauce occidentale : démocratie avec « mes » règles et droits de l’homme « qui me conviennent » au cas par cas. Et ceux qui ont visiblement organisé la chute d’Assad veulent reconfigurer la région à leur profit, affaiblir l’Iran, seul capable de tenir tête à « Israël », et installer des régimes à leur botte. Il faudra peu de temps pour regretter Assad, même pour les sunnites qui verront à l’œuvre les islamistes organisés et soutenus par la Turquie, les sionistes et les occidentaux. Israël a joué à affaiblir la Syrie, d’ailleurs en ce moment même – aujourd’hui, dimanche 8 décembre – ils bombardent Damas, donc clairement au profit des islamistes, soutenus par la Turquie et avec la bénédiction des occidentaux. Ils espèrent en occuper une partie, les Turcs, mais en effaçant de la carte les Palestiniens et le Liban voisin. Cela éveillera-t-il un jour la solidarité arabe ? On comprendra surtout que désormais : la Syrie va être amputée d’une partie de son territoire, au profit d’« Israël », le Liban sera amputé d’une partie des son territoire, au profit d’« Israël » et la Jordanie a du souci à se faire, parce qu’elle est dans le viseur d’« Israël ». Et nos médias se demandent encore à qui cela pourrait profiter ? Sans doute au monstre sioniste suprémaciste, racialiste et expansionniste, aujourd’hui génocidaire, et qui étend ses tentacules sur toute la région, avec la complicité d’une Europe servile et lâche, ayant accepté sans broncher d’être l’objet d’un chantage victimaire depuis plus de 80 ans.

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La vie en rose. La classe politique espagnole est constituée de carriéristes aveuglés pro-UE (le salut vient de l’Europe !) pour les officiels et sans aucune conscience politique nationale pour ce qui concerne les bases des différents partis. La bourgeoisie et les classes moyennes sont historiquement dans le réseautage de « la transition » et la reproduction sociale sans trop chercher des histoires. Leurs petits intérêts passent avant tout. Les classes populaires ont montré de quoi elles étaient capables lors du Covid : suiveuses, délatrices, conformistes, brailleuses, victimes éternelles entre les mains de partis en dessous de tout qu’ils sont capables d’applaudir à en perdre haleine (dernier congrès « socialiste », à Seville). Ce qui peut donner l’illusion de leur courage. En fait, elles ramassent sans jamais comprendre pourquoi ou trop tard. Elles hurlent quand l’assiette risque d’être vide. Mais un peu de Netflix, un Flash-Ball pour les plus turbulents, comme en France avec les Gilets jaunes et tout ça rentre dans l’ordre. Le gouvernement en place, tenu en laisse par les lobbys et partis périphériques, corrompu par d’autres groupes de pression d’obédience étrangère et les intérêts personnels ou de famille, ne tombera jamais. L’Espagne est un pays qui vit sur une gloire passée mais elle a cessé d’exister depuis longtemps. Finis les grandes figures de l’histoire, les grands hommes de Siècle d’Or, les grands écrivains. Aujourd’hui on a les Sánchez & Cie, avec ses bouffons de service genre Broncano et ses toutologues des émissions de la SER, chaîne radio à la botte du clan monclovite secouru infatigablement par El Pais, ombre lamentable de ce que fut un jour un journal sérieux, aujourd’hui feuille de stricte obéissance sanchiste. Les véritables élites, elles, s’expatrient, elles n’ont pas le choix, à défaut d’avoir un avenir. Avec une opposition stupide et souvent complice, le pouvoir en place ne changera pas de l’intérieur avec des élections. Cela viendra soit de l’extérieur, soit d’un effondrement total sans garantie que cela soit mieux après.

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jeudi 28 novembre 2024

Jusqu'à la fin de la fin ...

 


La vraie crainte, ce n’est pas la disparition, c’est l’indifférence de la solitude. Revenir en arrière. Faire le point sur tant de choses belles ou atroces qu’il nous a été donné de vivre. Les moments brefs de l’amour et de l’enthousiasme, la fragilité de la valise qu’on emportera avec soi vers un inconnu construit de mots et de phrases. Après un long weekend de vents féroces et de pluies durables, on a encore le soleil. Ce va et vient de changement de climats et de paysages nous vaut tous les romans du monde.

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Il paraît que des enfants Palestiniens et Libanais sont réduits chaque jour en bouillie par l’armée israélienne, la plus éthique au monde. Leurs parents développeront logiquement un ressentiment contre ceux qui ont tué leurs enfants. C’est insupportable et inhumain. Il faut faire cesser cela au plus vite : non pas les massacres d’enfants, mais le ressentiment contre les génocidaires et ceux qui les soutiennent. Ceci est un message bienveillant, en faveur des démocrates « israéliens », contre la haine et l’antisémitisme de la part de ceux qui les mettront en question quand ils ne font qu’exercer leur droit de défense. Pour les équilibristes de la citation, ces mots de (la mégère) Golda Meïr : « Nous pouvons pardonner aux Arabes d'avoir tué nos enfants. Nous ne pouvons pas leur pardonner de nous avoir obligés à tuer les leurs. » C'est pas beau, ça, peut-être ? De la pure dialectique cousue or ? Ils tuent par obligation, pas par plaisir ! Attention ! Vos gueules, les Palestoches !


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I. E. La gauche woko-donneuse de leçons pour mieux faire oublier que sur tous les sujets pour lesquels elle se la pète redresseuse de torts, sitôt le vernis de moraline enlevé, on réalise de façon systématique qu’elle est toujours la pire ! Correction politique et bien-pensance n’ont jamais permis à cette idéologie ridicule que d’avancer à couvert et de détourner l’attention du public de l’ensemble de ses gamelles !



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La cleptocratie social-démocrate, jamais absente de notre tissu social depuis son « retour » à l’échiquier politique après la disparition plus ou moins rapide du régime franquiste, a pris définitivement le contrôle du gouvernement « progressiste ». Solidement implantée au pouvoir, sans gagner les élections, et en marche imparable depuis six ans, sans contre-pouvoir efficace et comptant sur la soumission fruit du contrôle de la pratique totalité des institutions de l’État, cette cleptocratie impudique, capable de jouer au bonneteau avec une demie douzaine de formations  politiques : PSOE, PSC, Comunes, Más Madrid, Izquierda Unida, Sumar, et forte de l’appui parlementaire des séparatistes basques et catalans, ne cesse d’accroître son pouvoir et, par là même, de multiplier ses profits en exténuant la nation pour survivre. Les séparatistes de tout poil, premiers bénéficiaires et ultime garantie de la permanence de ce gouvernement de cauchemar, avaient déjà largement fait leurs preuves dans le domaine du détournement d’argent public. Grâce à la loi d’amnistie et aux manigances fiscales en secret, ils voient s'ouvrir des possibilités sans limite de captation de fonds et d'impunité. Ce que Mr Albert Rivera avait un jour qualifié de « bande » dépasse les contours conventionnels d’une simple secte politique basée sur une idéologie quelconque.
Cela semble beaucoup plus grave parce que, après une longue liste de scandales, il demeure prouvé qu'il s'agit d'une organisation cleptomane déterminée à piller le pays. La symbiose entre les délires idéologiques du wokisme et de la rapacité séparatiste, ajoutée au pillage systémique factuel crée une dictature difficile à déloger, parce qu'il a toujours été supposé, à tort, qu'une société démocratique un tant soit peu saine n'y consentirait jamais. L'audace du sanchisme repose sur cette impression bien établie que la société espagnole n'est démocratique et civilement solide qu'en apparence. Comme si elle vivait prisonnière d’une bulle méphitique sans pouvoir en sortir. Cette bulle paraît increvable, sans fond, et elle s’est montrée déjà capable d’exercer de terribles ravages sur le milieu social ambiant. Il n’est pas possible de pointer le degré de malfaisance de ces minorités organisées se comportant comme une maffia sans être taxé de fascisme et de propagateur de haine. Comme on ne peut pas se montrer horrifié du comportement du « Puto Amo » (qualificatif venant d’un ministre de son cabinet) ou de celui de son épouse « Pichona » (qualificatif sorti de la bouche même de son Puto Amo de mari), ou du frère tête de nœud, « exempté » de payer des impôts comme tout le monde ou de devoir aller travailler (il avait formulé par écrit son souhait d’y aller « deux fois par mois », pas si con, le frérot), ce qui ne l’empêche pas de se faire des couilles en or on ne sait pas trop où, sans être traité d’apologiste du mensonge et de répandre la fange (?). Pas celle, répétée, propre à la conduite criminelle du pouvoir, non, mais celle, poussière à peine, de ceux qui résistent au saccage de leur pays. La critique de l’absence de règles pour la caste au pouvoir, pour ses nombreuses familles d’affidés et pour ses amis et alliés est criminalisée par les mêmes qui soutiennent mordicus qu’on a le meilleur gouvernement « progressiste » de l’histoire de la démocratie et qui, grassement subventionnés, soutiennent la bande dans toute sa criminelle turpitude. Nous le savons depuis l’abandon du Sahara sans être pour autant des ennemis du Maroc. Nous sommes expropriés de notre propre pays mais l’alternative se présente donc comme un choix : ou la mort sociale, sans exclure la menace avec poursuites judiciaires, éventuellement la prison, ou l’exil si la situation se prolonge et on débouche ouvertement, à cent pour cent et sans masques, sur un véritable scénario à la vénézuelienne, dont on savoure déjà les délices, ou on se contente de fermer sa gueule en attente de jours meilleurs ...

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Démission de Machin, inculpation de Truc, mise en examen de Bidule. Vrai qu’une population qui subit le joug d’un Puto Amo et d’une Pichona sans crever la rue, presque sans mot dire, ne mérite que le silence de l’épouvante et du mépris. Il faut reconnaître qu’il a une baraka d’enfer, notre Président à Vie et Leader Suprême bien aimé, une baraka insolente et en même temps largement méritée : il rate peut-être tout mais les scandales à répétition qu’il protagonise ne font que le renforcer auprès de son gouvernement de bras cassés, autour des députés de sa grotesque minorité, capables de l’applaudir comme des pingouins sur la banquise, et chez les moutons de Panurge de son électorat. Ce qui facilite son balancement continu dans les branches les plus hautes de la corruption sans compromettre la stabilité de la cage. Au sein du parti majoritaire d’opposition (?), des voix se font entendre pour faciliter l’entrée en scène d’une lionne (sic, id est : selon leurs dires, plus proches de la métaphore que de la réalité) qui gouverne la Communauté Autonome de Madrid, confortablement installée dans sa majorité absolue. Or, la coupole du parti dont ces voix surgissent, pourri et gangrené par des médiocres, préfère l’aboiement du gentil teckel A. N. Feijoo, chef de file en titre, tout à fait inoffensif malgré de rares moments de férocité passagère face au sinistre cirque sanchiste.

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jeudi 21 novembre 2024

« Le comble du moderne, c’est à la fois de passer pour rebelle, d’avoir le pouvoir et d’être plein aux as. » Jean d’Ormesson

 

Affaire Iker Jiménez. Sur la période actuelle, on retrouve les pires comportements de filtrage de l’information, de propagande ou de censure surtout lorsqu’il s’agit de réagir à des critiques, notamment si elles sont solidement argumentées, de l'actuelle hystérie climato-réchauffiste et des mesures gouvernementales soi-disant écologiques qui n’ont ni queue ni tête et qui trop souvent, comme on vient de le voir en Espagne, s’avèrent criminelles.

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Le sanchisme (puant) ne date pas d'hier. Une association de type mafieux d'une demi-douzaine de personnes a imposé les cinq consensus qui nous saignent à blanc [en Espagne] : règles du jeu politique oligarchique (consensus constitutionnel) ; impossibilité de poursuivre en justice l'exécutif (consensus parlementaire) ; complicité de l'opposition dans chaque invocation de la raison d'État (consensus gouvernemental) ; absence de contrôle du gouvernement (consensus juridictionnel) ; pacte de silence (consensus d'opinion). 



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Trompettes trumpistes. Que le Docteur Folamour (Donald Trump) soit aux commandes à la place de la Momie Cacochyme en chef (Biden), il ne faut pas trop se faire d’illusions, il n’y aura aucune alliance honnête de l'UE avec les Étatsuniens vu que les USA : n’admettront jamais la fin de l’hégémonie du dollar ; continueront leur politique d’ingérence et de sabotage d'autres pays qui les gênent ; poursuivront partout les interventions militaires injustifiées ; augmenteront leur soutien à l’État génocidaire d’Israël ; persisteront plus que jamais à croire en leur destin manifeste ; n’accepteront nullement la réalité du monde multipolaire. Leur propagande ne fonctionnera plus vraiment comme avant car le monde entier peut maintenant s’informer avec ses smartphones, rendant ainsi chaque campagne de propagande impériale plus nocive pour celui qui l’émet que pour ceux qui la reçoivent.


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De l'abattoir de Gaza au Liban poignardé. En vérité l’entité sioniste est en train de se saboter, il ne nous reste qu’à patienter. La victimologie telle qu’on la connaissait est morte. Le bénéfice de la Shoah est parti en fumée dans les ruines fumantes de Gaza. Plus personne ne pourra désormais invoquer la Shoah, ce bouclier politique redoutablement efficace entre les mains des propagandistes sionistes, sans se prendre un Gaza en retour. La rengaine de l’antisémitisme, tous les jours, en permanence, sur toutes les chaînes de télé aussi bien que dans la presse écrite, tombe plutôt mal : les premiers à faire preuve d’antisémitisme sont en réalité les « Israéliens » vis-à-vis des Palestiniens, des sémites tout comme eux. L’historien allemand August Ludwig von Schlözer créa le terme sémitique à la fin du XVIIIe siècle, pour catégoriser une famille linguistique de l’Asie occidentale qui comprend, entre autres, l’hébreu et l’arabe.

S’appuyant sur la mythologie biblique de l’origine humaine, il identifie différents peuples de la région, des Syriens, des Babyloniens, des Hébreux, des Arabes, des Phéniciens, comme étant un seul. En effet, la Genèse raconte que les descendants de Noé sont les seuls survivants après le Déluge. Les trois fils de Noé, Shem, Sem dans la traduction grecque et latine, Ham et Japhet, sont de ce fait les ancêtres de tous les peuples connus à l’époque. Ham donne naissance aux peuples d’Afrique, Shem aux Hébreux et peuples apparentés et Japhet aux Grecs, Persans et autres nations identifiées comme appartenant aux Aryens et locuteurs de langues indo-européennes. Tous les baratineurs professionnels et leurs toutologues habituels pourvus d'un vernis de spécialisation ressassent les mêmes éléments de bourrage de crâne pour prévenir contre l'antisémitisme. Ils ne se rendent même plus compte du caractère totalement contre-productif de leur indignation sélective pour tenter de défendre « le seul pays démocratique au Moyen Orient » (sic) qu’ils vont réussir à faire haïr par toute personne relativement décente.

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Prêt d'appart : bis repetita. On nous demande de prêter pour quelques jours notre appartement, en notre absence. Cela réclame de la sérénité pour ne pas envoyer paître le pétitionnaire sur le champ. Non seulement parce que, n'ayant jamais demandé son logis à qui que ce soit, la réciprocité la plus élémentaire nous permet d’appliquer ses règles dès le premier instant, étant donné que, pour ce qui nous concerne, notre « maison » constitue le prolongement tangible de la fibre la plus intime de notre identité. Ce serait comme si on partageait nos sous-vêtements ou nos brosses à dents. Pire encore, ce serait livrer sans limite nos éventuels petits ou grands secrets, éparpillés ici et là au gré de nos envies, au premier venu, membre de la famille ou non, au bon plaisir du partage, de sorte que nous devrions faire attention aux éventuelles visites en renonçant au privilège qui est le nôtre de regarder chez nous dans toutes les directions avec la certitude, dans de mauvais ou de très heureux moments, de trouver refuge dans la manière chaleureuse et très agréable dont nous avons décidé d'aménager notre « intérieur », notre solidaire solitude, notre intimité, accordés avec une décoration particulière, une hygiène vitale, un enracinement dans les choses, un engagement esthétique comme volonté de vie ensemble.

D'autre part, nous n'avons jamais vécu dans le huis clos ou la clandestinité. Paradoxes de ce qu'on appelait autrefois la résignation chrétienne, nous avons partagé nos lit, table et nappe avec toute sorte de personnes, aussi bien avec des amis proches qu’avec d’inévitables raseurs. Mais de là à abandonner toute la maison, sans que ce soit à la demande ou pour le plaisir de nos enfants, renonçant même provisoirement (« pour quelques jours ») à une intimité non négociable, sans qu'aucun malheur ou imprévu ne vienne justifier un tel abandon, il y aurait non seulement un abîme, mais toute une concaténation de précipices susceptibles de provoquer la pire catastrophe dès la remise des clefs. Pour le coup, comme on dit, une solution alternative, intraduisible hélas en français poli, pour pallier cette envie subite d'exotisme d'intérieur chez nous pourrait bien être d’aller plutôt jouer vivement de la mandoline à Kaskala (Finlande). Comme on dit en Aragon et en Navarre : ¡a cascala! Pratique ludique, réconfortante et sans sortir de l’Europe.



mercredi 6 novembre 2024

« Un peuple de moutons finit par engendrer un gouvernement de loups » A. Christie

Catastrophe naturelle : ruine générale et des vies en lambeaux mais, du calme, un peu de patience, laissons les gens au pouvoir creuser au plus profond, dans le sale, le laid, le dégoût … Espérons qu’on n’aura plus pour longtemps d’une politique qui n’est que basses manœuvres et coups bas depuis de longues années. Cette horrible goutte froide sur la région de Valencia, le comportement ignoble de la racaille qui gouverne mon pays sans avoir gagné les élections et le martyre à petit feu et grand fracas de Gaza dans l’indifférence occidentale m’ont définitivement enlevé toute illusion et tout espoir. Un feu peut toujours rejaillir de ses cendres, mais de cette mélasse, de cette mafia corrompue qui a infesté chez nous tous les mécanismes de l’État ne sortira qu’un puant tas d’excréments. Cela me révulse et me donne de moins en moins d’espoir. Désolé pour ce pessimisme …

Un Bourbon courageux, couvert de boue par son peuple. Un rigolo bagarreur de basse cour se donnant des airs de caïd en carton pâte fait un caca mou devant la réaction de ce même peuple, rebrousse piteusement chemin et rentre à Madrid prêt ronger sa vengeance auprès de ses larbins et fin prêt à garder au chef de l’état un chien de sa chienne. Il y aura laissé des plumes, notre Phoenix ? J’en doute. À La Moncloa, ce qu’ils négocient réellement en coulisse, entre eux, c’est quel clan sortira gagnant, cette fois-ci encore, de la cagnotte des futurs fonds destinés aux victimes de la goutte froide. Qui seront les Abalos et les Koldo, les Aldama et les Illa d’un avenir déjà là ? Tous ces génies qui ont déjà fait de si bonnes et juteuses affaires pendant que la pandémie faisait des ravages, avec des budgets plusieurs fois millionnaires, sont les héritiers directs d’autres pourris comme eux et ont sans doute fait des émules. Dans la plus totale impunité ! Quel talent ! Une fois de plus, l’opportunité de faire de bonnes « affaires » est trop belle pour ne pas en profiter. Les menus plaisirs sont très bons et le magot prometteur : allez-y sans retenue, les gorets*  !

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* Cette charmante appellation, « les gorets », servait dans les rangs indépendantistes basques à désigner, en 2005, leurs interlocuteurs socialistes lors des négociations de l’époque.

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Quelques lignes de G. Albiac, le plus talentueux de mes sionistes de chevet, me surprennent agréablement. Il y affirme que son berceau n’était pas un lieu et qu’il ne l’a jamais regretté car cela le mettait à l’abri de l’enthousiasme imbécile des fervents du terroir que Georges Brassens appelait « des imbéciles heureux qui naissent quelque part ». Et il continuait revendiquant « la distance salutaire » que ça donne. Ne pas être de quelque part. Juste avoir été dans beaucoup d’endroits différents. Dans beaucoup de pays. Et savoir les apprécier pour ce qu’ils sont. Chapeau bas ! Beau texte pour regretter la pratique disparition d’Utiel, son lieu de naissance.

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Pour mémoire, l’IA n’est ni intelligente, ni artificielle : les réponses qu’elle donne sont le résultat d’algorithmes décisionnels insufflés par ses programmeurs et de tendances générales fournies par des ressources choisies du web. Elle ne sera jamais capable de remplacer la bêtise bien naturelle.

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Kim Jong-un, à différence de Zelenski, n’est pas une grande folle qui joue du piano avec son zizi ni ne brade ses terrains agricoles aux firmes étrangères. La superficie de la Fédération de Russie équivaut à la moitié du continent africain : 17 millions de km². Contre 30 pour l’Afrique. Avec 150 millions d’habitants, quel serai l’intérêt d’agrandir encore son territoire ? La Russie n’a jamais eu l’intention de sortir du territoire de l’Ukraine, où d’ailleurs la population lui est de plus en plus favorable parce que les Ukrainiens sont presque tous de civilisation russe. Une bonne partie aide et renseigne l’armée russe et ressent les Russes comme des protecteurs qui viennent les libérer. Les sionistes qui ont envahi la Palestine, la Jordanie, le Liban, la Syrie et l’Egypte sont des intrus venus des quatre coins du monde, surtout des pays de l’est, qui maltraitent des populations autochtones qui leur sont complètement étrangères et qu’ils haïssent.

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Des soldats nord-coréens en Ukraine ? Selon les termes des accords militaires bilatéraux entre la Russie et la Corée du Nord, il y a bien des contingents nord-coréens en Russie pour s’entrainer aux tactiques de combats modernes grâce à l’expérience russe acquise en Ukraine face à l’OTAN. La présence de soldats américains en Europe serait une escalade et une expansion dangereuse de la guerre sur le territoire européen ? La présence de conseillers, d’espions, et d’agents israéliens au plus haut sommet des médias et de l’appareil d’état des différents pays de l’UE serait une escalade et une expansion dangereuse de la guerre sur le territoire européen ?

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« Si effectivement les chambres à gaz c’est de la barbarie mais que Netanyahou c’est aussi un barbare au même titre qu’Hitler, où va-t-on ? » Michel Onfray aura au moins inventé un concept philosophique très pratique : le ouvatonisme. Copain comme cochon des nos cracheurs sur les pro-palestiniens et anti-sionistes. Tout est dans les nuances. Le livre de Bernard-Henri Lévy La Barbarie à visage humain débutait par un constat : « Hitler n’est pas mort à Berlin, il a gagné la guerre. Staline n’est pas mort à Moscou, il est là parmi nous. » En réaction, Gilles Deleuze a publié un tract, où il affirmait que « les nouveaux philosophes font une martyrologie, le Goulag et les victimes de l’histoire. Ils vivent de cadavres. Ils ont découvert la fonction-témoin, qui ne fait qu’un avec celle d’auteur ou de penseur. » Les cadavres qui n’intéressent pas ces philosophes-là étaient déjà en place, nombreux, depuis 1947 en Palestine.

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La civilisation judéo-chrétienne ? La civilisation héléno-chrétienne, je vois assez bien ce que c’est. L’héritage religieux judéo-chrétien aussi. Mais la civilisation judéo-chrétienne, j’ai un peu plus de mal. L’influence de Socrate, Aristote et autres Platons par rapport à celle de Moïse ou Abraham, ça doit signifier quelque chose ! L’influence des empires perse, phénicien, grec, romain par rapport aux petits royaumes locaux de Judée ou d’Israël aussi. La Hasbara serait-elle passé par là ? Les vulgarisateurs dignes de ce nom auraient dû soigner la métaphore des deux civilisations voisines, presque siamoises, à les en croire, face aux antisionistes ennemis du bon voisinage. Car les voisins qui ont construit leurs maisons sur celles des autres et même sur leurs terres et qui veulent gentiment les massacrer après les avoir chassé dehors, c’est bien « Israël ». Comment tolérer sans broncher l’existence, en taisant leurs crimes, de tels voisins ?




lundi 28 octobre 2024

Je vous la fais brève...

Dimanche dernier, le jour se levait à sept heures, magie du passage à l’horaire d’hiver, et le ciel montrait du gris bleu après une succession de rudes averses de nuit. Aujourd’hui, le parking el les voies d’accès à l’hôtel Port Alicante ne désemplissent pas. Les trottoirs d’en face, dont les coureurs habituels semblent être tombés du lit, brillent comme des sous neufs. Un timide soleil est présent sur l’immense façade en demi cercle du Club del Mar, imprégnée de lumière reflétée par ses centaines de fenêtres et baies vitrées. L’eau tombée dans la nuit a rafraîchi un peu plus encore l’atmosphère. Vers onze heures trente, nous sortons nous promener.



dimanche 27 octobre 2024

Ajoutez des oiseaux migrateurs aux cieux de chaque journée




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Que dire, quoi écrire et surtout comment faire pour exorciser le sionisme criminel ? L’entité sioniste, un pays fabriqué artificiellement par le mensonge, le vol et le sang en 1947-48 condamné partout par la conscience de tous. Difficile pour la propagande sioniste et ses relais, de supprimer le sens de la justice chez les peuples du monde entier, surtout après s’être octroyé le titre perpétuel de victime innocente, encaissé les dividendes (cf. N. G. Finkelstein, L'industrie de l'Holocauste. Réflexion sur l'exploitation de la souffrance juive, La Fabrique, Paris, 2001), fait pleurer dans les chaumières grâce à la magie hollywoodienne et, pour fonctionner efficacement un mensonge doit tenir sur la durée, compter sans défaillir sur une pléthore d’autoproclamés intellectuels plus ou moins connus mais bien payés pour se faire entendre, véritable artefact impérialiste : pro-européens sous tutelle américaine, fervents propagandistes proukrainiens sous contrôle OTAN, et islamophobes primaires qui ne trouvent en face, au cas où on voudrait les neutraliser, qu’une nébuleuse obsédée par le climat, le gendre et les races, véritable voiture-balai du mondialisme. Le keffieh ou le drapeau palestiniens exhibés en public par les groupuscules Lgbtq+, wokes, cancel culture, antidieu-sait-quoi, cachent mal leur condition de supplétifs de l’empire américain. Faudrait pas oublier cette réflexion mémorable : « les ennemis de mes ennemis ne sont pas forcément mes amis ». Fausse opposition au capital et au sionisme, vrais traîtres au peuple palestinien et aux classes populaires (les sans-dents, comme appelait François Hollande les pauvres gens, si on en croit  Valérie Trierweiler dans son livre Merci pour ce moment), caution du système de prédation mondialiste. Notre Europe n’est plus rien. L’Europe protectorat américain, ou directement occupée (cas de l’Allemagne ), constitue un drôle de « Jardin d’Éden » (J. Borrell) où le niveau de vie s’effondre, là délinquance explose, les crimes de toute sorte sont quotidiens, la vie urbaine devient la loi de la jungle, la corruption de ses politiques exponentielle, les lobbys surpuissants, la justice aussi dépravée que les mœurs.

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@ Ulises Culebro

Dégoût inexprimable. Les apparitions publiques de Pedro Sanschaise me font penser aux pub télé pour les parfums : ça pue la prétention, la vanité, la putasserie, le mépris, le mensonge maladif, le faux témoignage, la putréfaction morale. Il n’y a rien de plus con et prévisible que les élucubrations de ses zombies-conseillers aux manettes de chaque prestation visuelle. Mais bon, si son électorat aime ça … Or, ces temps-ci les horreurs, comme les feuilles mortes, se ramassent à la pelle pour son entourage mafieux et quoique je tente d'ignorer généralement ce microcosme puant, cependant il m’arrive d’en relever certaines dilatations pour des raisons évidemment subjectives. Je vis avec cette idée ancrée dans ma tête que non seulement l’époque fait du laid et du sale, mais aussi qu’il y a une volonté programmée d’enlaidir et de salir ce qui existe. Les tarés ont toujours existé, mais aujourd’hui on les nomme ministre ou haut fonctionnaire public, surtout s’ils manquent de probité et de qualification professionnelle particulière. Voilà du changement ! Et de la mutation sociale. De la vraie !