J'aime

dimanche 27 octobre 2024

Ajoutez des oiseaux migrateurs aux cieux de chaque journée




***


Que dire, quoi écrire et surtout comment faire pour exorciser le sionisme criminel ? L’entité sioniste, un pays fabriqué artificiellement par le mensonge, le vol et le sang en 1947-48 condamné partout par la conscience de tous. Difficile pour la propagande sioniste et ses relais, de supprimer le sens de la justice chez les peuples du monde entier, surtout après s’être octroyé le titre perpétuel de victime innocente, encaissé les dividendes (cf. N. G. Finkelstein, L'industrie de l'Holocauste. Réflexion sur l'exploitation de la souffrance juive, La Fabrique, Paris, 2001), fait pleurer dans les chaumières grâce à la magie hollywoodienne et, pour fonctionner efficacement un mensonge doit tenir sur la durée, compter sans défaillir sur une pléthore d’autoproclamés intellectuels plus ou moins connus mais bien payés pour se faire entendre, véritable artefact impérialiste : pro-européens sous tutelle américaine, fervents propagandistes proukrainiens sous contrôle OTAN, et islamophobes primaires qui ne trouvent en face, au cas où on voudrait les neutraliser, qu’une nébuleuse obsédée par le climat, le gendre et les races, véritable voiture-balai du mondialisme. Le keffieh ou le drapeau palestiniens exhibés en public par les groupuscules Lgbtq+, wokes, cancel culture, antidieu-sait-quoi, cachent mal leur condition de supplétifs de l’empire américain. Faudrait pas oublier cette réflexion mémorable : « les ennemis de mes ennemis ne sont pas forcément mes amis ». Fausse opposition au capital et au sionisme, vrais traîtres au peuple palestinien et aux classes populaires (les sans-dents, comme appelait François Hollande les pauvres gens, si on en croit  Valérie Trierweiler dans son livre Merci pour ce moment), caution du système de prédation mondialiste. Notre Europe n’est plus rien. L’Europe protectorat américain, ou directement occupée (cas de l’Allemagne ), constitue un drôle de « Jardin d’Éden » (J. Borrell) où le niveau de vie s’effondre, là délinquance explose, les crimes de toute sorte sont quotidiens, la vie urbaine devient la loi de la jungle, la corruption de ses politiques exponentielle, les lobbys surpuissants, la justice aussi dépravée que les mœurs.

***

@ Ulises Culebro

Dégoût inexprimable. Les apparitions publiques de Pedro Sanschaise me font penser aux pub télé pour les parfums : ça pue la prétention, la vanité, la putasserie, le mépris, le mensonge maladif, le faux témoignage, la putréfaction morale. Il n’y a rien de plus con et prévisible que les élucubrations de ses zombies-conseillers aux manettes de chaque prestation visuelle. Mais bon, si son électorat aime ça … Or, ces temps-ci les horreurs, comme les feuilles mortes, se ramassent à la pelle pour son entourage mafieux et quoique je tente d'ignorer généralement ce microcosme puant, cependant il m’arrive d’en relever certaines dilatations pour des raisons évidemment subjectives. Je vis avec cette idée ancrée dans ma tête que non seulement l’époque fait du laid et du sale, mais aussi qu’il y a une volonté programmée d’enlaidir et de salir ce qui existe. Les tarés ont toujours existé, mais aujourd’hui on les nomme ministre ou haut fonctionnaire public, surtout s’ils manquent de probité et de qualification professionnelle particulière. Voilà du changement ! Et de la mutation sociale. De la vraie !


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire