Le vrai désespoir
naît de l’attente déçue : quels passants, quels touristes invisibles marchanderaient leur fatigue, ici, sur ce banc si fourbu, si loin des
résidences fières de leurs bigoudis en béton, gratte-ciels, bâtiments, banlieues
de cauchemar aux misères théâtrales … ? Solitude clé en main.
Et les gens,
autant qu’il est possible, maintenus hors de vue … La société vaincue par la
nature !