El muladar de la política actual. Más bien político-mediático. Es curioso que la mayoría de las obras y artículos escritos por grandes firmas versen sobre el tema. En el que son verdaderos expertos. La abyección absoluta. La basura. Por cierto, y siendo un poco perverso, en sus anteriores trayectorias políticas una inmensa mayoría se reivindicaba de izquierdas o compatibilizaba su defensa del pensamiento progresista con el respeto más o menos veraz a la derecha. Ahora el pensador político y el ciudadano zombi se dan de puñadas… Verdaderamente la polémica entre derechas e izquierdas lleva años tan adulterada y enrarecida que a estas horas del siglo 21 es difícil por no decir imposible hacer luz. Ni intentarlo. En su día, parecía acertado el esquema de Alain de Benoist de que la derecha hace inflexión en la libertad mientras que la izquierda lo hace en la igualdad. Siguiendo este razonamiento, la derecha sería heredera del paganismo indoeuropeo y tendería a los valores aristocráticos, a la búsqueda de la excelencia a través del esfuerzo y la selección de los mejores. El hombre, dice De Benoist, es el animal que da sentido a las cosas, trazando un continuum de tradiciones ligadas a una cultura, un territorio y una raza. Por el contrario la izquierda sería la heredera de los valores orientales, judeocristianos, de los cuáles el socialismo y el comunismo serían epígonos. El todos somos iguales ante Dios devendría en un todos somos iguales, pero ya ¡ni siquiera ante la ley!, sólo en la verborrea mediática, y por eso precisamente añadía Orwell malévolamente, que algunos son más iguales que otros. Como vemos ni la derecha ni la izquierda realmente presentes en el tablero político responden a estos patrones. La derecha no supremacista / separatista, al menos en España, está desideologizada y es escasamente tradicionalista. Además, lejos de promover la selección de los mejores, difunde una aura mediocritas de conformismo y defensa de los valores angloamericanos, aparte de estar tan salpicada por la corrupción y gangsterizada como la impúdica e impune socialdemocracia. Por eso hablar de izquierda y derecha puede devenir en una comedia de errores, como es el caso de nuestro panorama actual. Ya he perdido la cuenta de las veces que he sacado a relucir o aconsejado la lectura de las conclusiones de Murray Bookchin (El anarquismo en la sociedad de consumo) de hace tantos años (" Là voilà de retour, l'ignoble canaille des années trente ... ").
Rêve surréaliste raté. Un jour comme un autre, celui de mon soixante-dixième anniversaire, en novembre dernier, stressé par la fuite d’eau du voisin et touché au cœur, sans les enfants à proximité pour le repas de famille habituel. J’en ai rêvé encore ce soir ! Il est dangereux quand on est septuagénaire de se croire encore sexagénaire. Cela faisait déjà un moment que je me sentais avoir soixante-dix ans. Peut-être parce que je préfère les années où mon âge est pair. Serait-ce parce que je suis né une année impaire ? Ou alors parce que, je ne sais pourquoi, je me dis que je risque moins de mourir une année d’âge pair. En attendant cette échéance, il s’agit de continuer à vivre au mieux avec les miens et les proches tant qu’on le peut. Me le rappelle, si c’était nécessaire, la disparition d’Imanol O. Ou la mort brutale de l’ami Markos, peu après sa retraite. A chaque rencontre, nous passions un bon moment ensemble, la dernière fois avec Juan de Alba R., et c’était pour moi l’une des rares occasions pour discuter en basque avec quelqu’un. Sans que je sache vraiment pourquoi, je ressentais un vrai plaisir de le faire avec lui. Je savais quand même qu’il était vraiment basquisant dans sa tête et dans son cœur. Une crise cardiaque. Il devait pourtant avoir une meilleure hygiène de vie qu’avant la retraite, vu son état physique des derniers temps.
L’Ukraine s’effondre sous les flots de larmes des chaînes télé franco-espagnoles ou hispano-françaises. Les mêmes ordures des deux côtés de l’ex-frontière qui en reste bien une quand même ! C’est le premier heureux évènement de cette nouvelle année. J’en espère d’autres : la défaite (avec disparition définitive !) de la criminelle entité sioniste, l’effacement de la carte des souvenirs du monde de Sanchez et de Macron, la dissolution subite de Trump dans son néant d’origine, l’aggravation du dérèglement climatique, etc.
Deux policiers massacrés à Barbate, Cadix, près de la fosse septique, ce puisard appelé aussi Gibraltar. Ce n'est pas rien quand nos jugements maladroits et nos préjugés sont dictés par la cruauté d'une réalité sauvagement insupportable. On a été dressés pour sauver les apparences : de normalité, de démocratie, de progrès … Alors qu’on est gouverné par des imbéciles criminels et, trop souvent, des complices. Depuis quand le commerce de la drogue et des substances psychoactives règne-t-il sur l'économie politique occidentale, américanisée, autant dire sur l’ensemble du monde ? Sans qu’il n'y arrive rien. Nous vivons dans une misérable et criminelle saleté pornocapitaliste thanatocratique et nous ne voulons pas en tirer les conséquences et les leçons de ce chaos anarchique. Nous avons tué dans l'œuf les solutions rationnelles possibles et du Chili au Japon en passant par Marseille ou par Gibraltar, le chaos est la norme. Il n'y a rien à faire. Les armées, les polices, les juges, les fonctionnaires de tout poil, les damnés de la terre et du ciel sont corrompus par l'extase du gain, par la hantise du fric de cette économie souterraine. Les vrais responsables sont les mafias multinationales et leurs réseaux de complicités efficacement criminelles. Chapeau ! Je viens de découvrir la lune. San toucher, bien entendu, à la logique irrationnelle de la misérable saleté porno-capitaliste thanatocratique, qui préfère s’autoproclamer démocratie universelle, fondée sur des règles comme disent toujours A. Blinken et B. Netanyahou.