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lundi 20 septembre 2021

Les sanglots longs des violons de l'automne ... etc.

Quelles rivalités de gangsters sous l’abdication forcée du mec à la queue de cheval expert en tout domaine ? Passer en un tournemain de cause d'insomnie à proche collaborateur n'est pas donné à tout le monde ! Et de là, hop, sous la trappe de l'oubli ... ! Mystère.

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Quand malgré l’état scandaleux du prix de l’énergie électrique la gauchiasse à bombinettes verbales et les syndicats pourris-subventionnés dégagent de la place publique et ne veulent pas de remous ni conflit, cela révèle un réel et profond malaise. Les médias sous contrôle de l’oligarchie se contentent de fabriquer des idiots et des idiots utiles pour déclencher la meute contre des conneries, et force est de constater, n’en déplaise aux braves ministres de Podemos puisqu’ils sont coresponsables que cela, hélas, est très efficace. Pauvre pays ! Des curés du clavier de la mouvance sanchiste, cette bouse (Escolar & cie), ces moulins à vent jamais frottés aux vrais problèmes, répandent leur fiel contre toute forme d’expression raisonnable, en compagnie des trolls bas de gamme de l’infect Podemos qui n’ont jamais fait ni réussi de leur vie quoi que ce soit, en aboyant comme des toutous enragés contre un passé inoffensif (Franco, des machins vétustes, des trucs truculents …) vu comme une menace pour leurs sinécures actuelles de petits bourgeois insignifiants. Tout cela montre une fois de plus que toute cette lutte contre « le fascisme » ou contre « le patriarcat » ou contre « le machisme », ce ne sont que de gigantesques farces, ou comme l’admettait Zapatero à l’époque, en présence de cette autre burne abrutie d’Iñaki Gabilondo, « du théâtre », des formules pour faire monter la pression (sic), terreau de prédilection des organisations féministes, droits-de-l'hommistes, LGBTistes, etc. ainsi que de l'écologie politique en provenance des USA, espace impérial obsédé par la Chine sans y pouvoir surprendre une infime ébauche d’un tout début de réflexion rudimentaire : c’est comme ça, c’est l’Empire qui le veut ainsi et se veut tel. Pour très longtemps ? 

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Chère I. S. L., quelle est la place de l’hyperbole dans l’œuvre de Céline ? Ses lecteurs savent bien ce que c’est… Que ce soient les colères homériques d’Auguste, dans Mort à Crédit, les vomis fantastiques des passagers lors de la traversée pour l’Angleterre, ou le bombardement de Montmartre dans Féerie pour une autre fois, Céline dépasse n’importe quel prédécesseur. Pour comparer, si on relit l’Iliade et sa longue colère d’Achille à la colère d’Auguste, c’est encore bien mieux allongé. Cela n’est pas sans rappeler le Journal de Léon Bloy : « Dans l’Absolu, il ne peut y avoir d’exagération et, dans l’Art qui est la recherche de l’Absolu, il n’y en a pas davantage… » Pour dire quelque chose de valable, aussi bien que pour donner l’impression du Beau, il est indispensable de paraître exagérer, c’est-à-dire de porter son regard au-delà de l’objet et, alors, c’est l’exactitude même sans aucune exagération, ce qu’on peut vérifier dans les Prophètes qui furent tous accusés d’exagérer. » Ailleurs, il écrira : « On ne voit bien le mal de ce monde qu’à condition de l’exagérer. » Au fond, à bien y réfléchir, il est normal que l’Art exagère, puisque les hominiens ne sont rien qu’insensibles brutes épaisses. 



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Des textes et des messages écrits partout dans un français calamiteux, surtout sur les chaînes télé, me font regretter les cours d’autrefois où l’orthographe, bien au-delà d'autres rigueurs théoriques, était considérée à la base comme une forme de respect…




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